La théorie des systèmes sociaux : Selon cette théorie, les sources des diverses communications (la communication des acteurs politiques, la communication des institutions publiques, l’information des médias..) appartiennent à des systèmes distincts. La communication des médias appartient à un sous système au sein duquel seule une information transparente et cohérente peut garantir un soutien populaire.
La théorie de la hiérarchie des priorités (ou la théorie de l’agenda setting) : Selon cette théorie, les médias exercent une sélection des enjeux, certains sont mis en avant tandis que d’autres restent dans l’ombre. Les médias (les émetteurs) ont un pouvoir d’influence sur les citoyens (les récepteurs), dans la mesure où ils déterminent les informations qui sont diffusées et débattues.
La théorie du sélectionneur (ou la théorie du gatekeeper) : Selon cette théorie, partant du constat qu’il n’est pas possible de relater tout, les journalistes sont obligés de sélectionner les sujets selon une logique fonctionnelle et centrée sur les médias. Les informations sont donc les faits qui passent au crible des conférences de rédactions.
La théorie de la valeur des nouvelles : Selon cette théorie, les caractéristiques d’une « news » déterminent sa valeur journalistique, et son intérêt d’être publiée. Une news est un fait qui est simple à expliquer (court et percutant), qui permet à la cible de s’identifier notamment en raison de sa proximité. Une news, c’est enfin sensationnel.