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Palmarès des membres de la Commission européenne actifs sur Twitter début 2011

Un an après le palmarès des membres de la Commission européenne sur Twitter que nous avions réalisé – il n’y avait alors qu’un seul Commissaire européen vraiment actif sur Twitter : María Damanáki (Affaires maritimes et Pêche) – qu’en est-il début 2011 ?

Début 2011, 80% des Commissaires ne sont toujours pas présents sur Twitter

Une très large majorité des Commissaires – dont le président de la Commission européenne, à l’inverse du président du Parlement européen Jerzy Buzek – est absente du réseau social Twitter :

  • José Manuel Barroso, Président
  • Catherine Ashton, Première Vice-Présidente, Haut représentant pour les Affaires étrangères
  • Joaquín Almunia, Vice-président, Concurrence
  • Siim Kallas, Vice-président, Transports
  • Antonio Tajani, Vice-président, Industrie et Entreprises
  • Maroš Šefčovič, Vice-président, Relations inter-institutionnelles et Administration
  • Olli Rehn, Affaires économiques et monétaires
  • Andris Piebalgs, Développement
  • Androulla Vassiliou, Éducation, Culture, Multilinguisme et Jeunesse
  • Algirdas Šemeta, Fiscalité, Union douanière, Audit et Lutte anti-fraude
  • Karel De Gucht, Commerce
  • John Dalli, Santé et Politique des consommateurs
  • Máire Geoghegan-Quinn, Recherche, Innovation et Science
  • Janusz Lewandowski, Budget et Programmation financière
  • Johannes Hahn, Politique régionale
  • Štefan Füle, Élargissement et Politique européenne de voisinage
  • Cecilia Malmström, Affaires intérieures
  • Dacian Cioloş, Agriculture et Développement rural
  • Günther Oettinger, Énergie
  • Connie Hedegaard, Action climatique

Début 2011, 6 Commissaires européens sont activement présents sur Twitter

Avec des niveaux d’activité très éparses, voici la liste des Commissaires européens effectivement actifs sur Twitter début 2011:

  • Neelie Kroes (Vice-présidente, Société numérique) : la plus active avec 636 Tweets et 11 535 Followers ;
  • Viviane Reding (Vice-présidente, Justice, Droits fondamentaux et Citoyenneté + Communication) : la plus ouverte avec 255 Following ;
  • Janez Potočnik (Environnement) ;
  • María Damanáki (Affaires maritimes et Pêche) ;
  • Kristalina Georgieva (Coopération internationale, Aide humanitaire et Réaction aux crises) ;
  • László Andor (Emploi, Affaires sociales et Insertion) : le dernier arrivé puisque le Hongrois s’est inscrit il y a quelques jours seulement, à l’occasion de l’ouverture de la présidence hongroise du Conseil de l’UE.

Ainsi, quoique la présence des membres de la Commission européenne sur Twitter soit encore réduite à une forte minorité, la progression en moins d’un an est très forte, une tendance qui se confirmera en 2011 ?

Et si la révolution dans le discours sur l’Etat de l’Union de Barroso était l’annonce de la création d’une agence européenne de la communication de l’UE ?

Alors que José Manuel Barroso s’apprête à tenir son premier discours sur l’Etat de l’Union (l’une des innovations introduites par le plan d’action de Viviane Reding, la Commissaire en charge de la communication) la révolution revendiquée – que l’on peut craindre sans lendemain – serait vraiment au rendez-vous avec l’annonce de la création d’une agence européenne de la communication de l’UE. Pourquoi une telle agence ?

La volonté de « dépassionner un antagonisme d’ordre politique, voire idéologique »

En effet, la mission de communiquer sur l’Europe, que certaines considèrent « impossible », est marquée par de fortes divergences de vues entre les institutions communautaires et les États membres.

La création d’une agence pourrait conduire à « techniciser » le débat en fournissant des données objectives et incontestables sur la base d’indicateurs permettant de comparer le bien-fondé des différentes options politiques envisagées.

De surcroit, une agence constituerait un meilleur gage d’indépendance que les services de la Commission, du Conseil ou du Parlement, soumis à des pressions de diverses natures qui pourraient faire peser un soupçon sur l’impartialité de leurs travaux.

Une mission précise et des activités exclusivement communautaires aux plus-values évidentes

La mission de l’agence européenne de la communication publique consisterait à assurer la communication de l’Union européenne en lieu et place des différents services de communication des institutions communautaires.

Dans le cadre de cette mission, l’agence se verra confier les activités suivantes :

  • définir des orientations générales pour une communication coordonnée au sujet des questions européennes et établir une certaine cohérence de l’identité graphique des activités de communication de l’Union ;
  • mettre en œuvre les priorités annuelles de l’Union européenne dans le domaine de la communication en adoptant un programme de travail annuel et des plans d’action visant à donner une suite aux conclusions des évaluations ;
  • contribuer au développement d’une sphère publique européenne.

Au-delà de ces activités stratégiques, l’agence aura des activités plus opérationnelles, notamment :

  • appliquer les partenariats de gestion avec les États-membres permettant depuis la déclaration politique du 22 octobre 2008 d’améliorer la coordination des activités de communication relevant des priorités définies, sur la base de plans de communication conjoints
  • collecter, analyser, transmettre, mettre en réseau une information objective, fiable et facilement accessible ;
  • signer des contrats d’objectifs et de moyens assortis d’indicateurs de performance permettant de mesurer les moyens mobilisés, les travaux exécutés et les résultats obtenus.

Par ailleurs, l’agence se verra confier des missions complémentaires des initiatives de communication sur l’Europe engagées par les Etats membres :

  • d’une part, il s’agit de tâches de coordination ou d’échanges d’informations et de bonnes pratiques, qui, par leur nature même, sont plus faciles à conduire à un niveau supranational ;
  • d’autre part, la complémentarité pourrait résulter de la mise en commun de ressources des États membres. Une mutualisation de moyens, dont l’évolution pourrait être de confier progressivement l’activité à l’agence européenne.

Ainsi, la plus-value de cette agence européenne de la communication publique est avérée puisqu’il s’agit d’une mission spécifique d’harmonisation de la communication européenne dont on ne retrouve pas d’équivalent dans les politiques mises en œuvre au niveau national et qui résulte d’une application rigoureuse du principe de subsidiarité en confiant des compétences claires à l’UE.

Une pleine implication des États membres dans la gouvernance des agences européennes

Le degré d’implication des États membres se traduit par leur participation au conseil d’administration de l’agence. Il s’agirait de prévoir la représentation de chaque État membre dans leur conseil d’administration ainsi que de toutes les institutions exécutives communautaires, à commencer par la Commission, le Conseil et le Parlement.

Une mutualisation des moyens pour une plus grande réactivité et une plus grande souplesse de gestion

Suivant les recommandations du rapport d’information du Sénat, la mutualisation des moyens permettrait de réaliser des économies d’échelle.

La mutualisation des moyens pourrait porter sur les moyens généraux, tels que les ressources humaines, en particulier au niveau des fonctions support telles que l’assistance dans la procédure budgétaire et en matière d’appel d’offres ou de conseil juridique ou la traduction.

En outre, avec une stricte application des principes de discipline budgétaire et de bonne gestion financière et une parfaite maîtrise des effectifs s’appuyant sur une réelle prise en compte des résultats, le fonctionnement de l’agence se révèlerait particulièrement efficace.

Ainsi, la création d’une agence européenne de la communication de l’UE constituerait vraiment une avancée pour la communication de l’UE, dont on peut regretter que le 1er discours sur l’Etat de l’Union ne l’annonce pas.

Modernisation des pratiques de communication pour José Manuel Barroso à l’occasion du Sommet du G20 de Toronto

Alors que la visibilité du président Barroso – et de la Commission dans son ensemble – tend à se réduire dans l’Union européenne post-Lisbonne face à :

  • la présence accrue des chefs d’Etat et de gouvernement avec la lutte contre la crise et la médiatisation des Conseils européens ;
  • l’existence nouvelle de personnalités avec le président permanent du Conseil de l’UE et le ministre des affaires étrangères ;

de nouvelles pratiques visant à dynamiser la communication du Président de la Commission européenne ont été mises en œuvre à l’occasion des Sommets du G8 et du G20 de Toronto…

D’une part, des relations presse personnalisées avec des journalistes embarqués avec José Manuel Barroso

Information signalée par Euractiv.com, à l’occasion du Sommet du G20 à Toronto, des journalistes ont pu voyager avec le président de la Commission européenne. « Bien qu’il soit commun pour les journalistes de voyager avec les présidents et premiers ministres des États membres de l’UE, de même que le président des États-Unis, ils ont voyagé à quelques reprises seulement avec M. Barroso ».

D’autre part, une ouverture aux réseaux sociaux avec des porte-paroles habilités à Twitter

Quoique l’initiative demeure limitée (112 Followers et 29 Tweets à l’issue du week end), le compte officiel : Europe_at_G20 (archivé) : « nous sommes l’équipe de presse de la Commission européenne qui accompagne le président Barroso aux sommets du G8 et du G20 » piloté semble-t-il par Pia Ahrenkilde-Hansen, porte-parole de la Commission, démontre :

  • l’importance que revêt les réseaux sociaux chez les responsables politiques de l’UE et
  • l’intérêt pour tenter de s’imposer : cf. le Tweet suivant : « Saviez-vous que le président de la Commission #Barroso est le plus ancien membres du #G8 et a déjà participé à #Gleneagles en 2005? ».

Pour quels résultats ?

La communication de José Manuel Barroso lui permet de recueillir 1 800 résultats pour « Barroso + G20 » sur Google Actualités… à comparer avec 4 400 résultats pour « Sarkozy + G20 », 7 900 résultats pour « Merkel + G20 » et surtout 13 300 résultats pour « Obama + G20 ».

Palmarès des membres de la Commission européenne sur Twitter

Alors que le Parlement européen doit procéder au vote final d’approbation du Collège des Commissaires à Strasbourg le 9 février 2010, quel est l’état des lieux de la présence des Commissaires désignés sur Twitter ?

Plus de 70% des Commissaires ne sont pas présents sur Twitter

Une très large majorité des Commissaires est absente du réseau social Twitter :

  • Joaquín Almunia, Vice-président, Concurrence
  • Siim Kallas, Vice-président, Transports
  • Antonio Tajani, Vice-président, Industrie et Entreprises
  • Maroš Šefčovič, Vice-président, Relations inter-institutionnelles et Administration
  • Olli Rehn, Affaires économiques et monétaires
  • Andris Piebalgs, Développement
  • Androulla Vassiliou, Éducation, Culture, Multilinguisme et Jeunesse
  • Algirdas Šemeta, Fiscalité, Union douanière, Audit et Lutte anti-fraude
  • Karel De Gucht, Commerce
  • John Dalli, Santé et Politique des consommateurs
  • Máire Geoghegan-Quinn, Recherche, Innovation et Science
  • Janusz Lewandowski, Budget et Programmation financière
  • Johannes Hahn, Politique régionale
  • Štefan Füle, Élargissement et Politique européenne de voisinage
  • László Andor, Emploi, Affaires sociales et Insertion
  • Cecilia Malmström, Affaires intérieures
  • Kristalina Georgieva, Coopération internationale, Aide humanitaire et Réaction aux crises
  • Dacian Cioloş, Agriculture et Développement rural

Quelques comptes sont ouverts mais inactifs sur Twitter

Seul l’avenir pourra déterminé s’il s’agit de comptes « officiels » ou de spams pour quelques Commissaires qui auraient ouverts des comptes sans être actifs :

  • Jose Manuel Barroso EU President : fake (suspendu)
  • José Manuel Durão Barroso, Président : 0 Following, 114 Followers, 6 Tweets : fake (supendu)
  • Catherine Ashton, Première Vice-Présidente, Haut représentant pour les Affaires étrangères : fake
  • Viviane Reding, Vice-présidente, Justice, Droits fondamentaux et Citoyenneté (et de la communication) : fake
  • Neelie Kroes, Vice-présidente, Société numérique : fake
  • Günther Oettinger, Énergie : fake

Quelques personnalités seulement sont actives sur Twitter

Une infime minorité des Commissaires est engagée sur Twitter :

  • Connie Hedegaard, Action climatique (compte temporairement actif lors du Sommet de Copenhague : @cop15president) : 4 Following, 35 Followers, 13 Tweets
  • Janez Potočnik, Environnement : 12 Following, 146 Following, 17 Tweets
  • María Damanáki, Affaires maritimes et Pêche : 91 Following, 232 Followers, 37 Tweets (en alphabet grec) : 177 Following, 91 Followers, 106 Tweets
  • Michel Barnier, Marché intérieur et Services (compte temporairement utilisé pendant la campagne des élections européennes) : 620 Following, 2,436 Followers, 88 Tweets

Ainsi, alors que les derniers chiffres de Twitter publiés par Sysomos : Exploring the Use of Twitter Around the World. révèle que 13 millions de tweeteurs seraient actifs dans le monde en janvier 2010 avec une grosse majorité d’ anglophones – plus de 65% – et moins de 1 % pour les français, le palmarès de la présence des Commissaires sur Twitter montre que le Commissaire français arrive en tête du podium.

Lettre ouverte de la communauté des éditeurs et des webmasters de la Commission européenne au président Barroso et aux Commissaires entrants

Choisissant le moment des auditions des futurs Commissaires par le Parlement européen, la communauté des éditeurs et des webmasters de la Commission européenne rédige une lettre ouverte au président Barroso et aux futurs Commissaires afin d’« exploiter la puissance d’Internet pour une meilleure communication », une grande première pleine de préconisations…

La révolution Internet et son impact sur la façon dont la Commission communique avec les citoyens

L’UE a été l’une des premières organisations internationales sur le web dès le milieu des années 1990. Aujourd’hui, le site Web de l’UE est l’un des plus grands au monde avec plus de 6 millions de pages Web. Depuis 2007, le site a subi une refonte majeure afin d’être plus centré sur l’utilisateur et de permettre au citoyen et partenaire un accès plus facile et plus rapide à l’information dont ils ont besoin.

(extraits traduits de la lettre ouverte)

Internet héberge une vaste gamme de conversations chaque jour, avec des forums de discussion, des blogs et des réseaux sociaux sur toutes sortes de sujets. Les versions en ligne de journaux et de chaînes de télévision donne aux utilisateurs la possibilité de commenter des nouvelles et des éditoriaux. Les réseaux sociaux (tels que Facebook, Twitter, etc) offrent de grandes occasions de s’engager dans le dialogue avec les citoyens et les parties intéressées, de mobiliser le soutien au projet européen et de partager des informations et des idées sur l’UE plus largement que n’importe quel autre support. L’audience des nouvelles en ligne continue de croître; forums informels et blogs sont de plus influents sur l’opinion publique. En attendant, la presse écrite est en chute libre, et les entreprises contournent les canaux traditionnels des médias pour communiquer directement avec leurs clients.

Ce nouveau paysage nécessite une nouvelle communication décentralisée, s’engageant dans un dialogue constant, plutôt que par l’intermédiaire de communiqués de presse. Cela exige également l’instauration d’une culture de communication basée sur des principes d’équité, d’honnêteté, de transparence et de confiance. Le soutien total de la nouvelle Commission est nécessaire pour contribuer à ce qu’Europa serve mieux le public européen – grâce à la consolidation et l’amélioration d’une information claire, précise et mise à jour. Nos sites Web peuvent ne pas être de simples dépôts de documents. Mais surtout, la nouvelle Commission devrait créer une culture de communication interne qui encourage et habilite le personnel à utiliser Internet et les nouveaux médias pour interagir avec les citoyens.

Préconisations pour une meilleure communication sur tous les sites Europa :

  • concentrer la communication sur les besoins et les intérêts des utilisateurs, plutôt que sur les priorités, les structures organisationnelles et le vocabulaire de la Commission ;
  • supprimer les jargons obscurs et les contenus les moins pertinents – considérations historiques excessives, détails juridiques inappropriés et matériel de promotion – afin que l’information cruciale soit rapidement trouvée ;
  • rechercher les besoins des utilisateurs à travers des « feedbacks » réguliers et une analyse d’audience ;
  • organiser des tests généralisés d’ergonomie et d’accessibilité pour améliorer l’expérience utilisateur et permettre d’évaluer et de mesurer les progrès ;
  • exiger des DG de regarder les sites (existants et nouveaux) des autres en fonction de critères axés sur l’utilisateur et de partager les projets, afin d’éviter les répétitions et les chevauchements ;
  • donner des informations à jour soit par l’archivage, l’actualisation ou la fermeture des sous-sites ;
  • restructurer ou fusionner des sites présentant un contenu qui se chevauchent ou se contredisent (ce qui nécessite une coopération routinière entre les services compétents)
  • veiller à ce que tous les sites de l’UE, y compris ceux des Commissaires, présentent une image de marque cohérente et consistante pour les utilisateurs.

Préconisations pour une communication de la Commission sur les nouveaux médias sociaux :

  • encourager / autonomiser le personnel de la Commission dans l’utilisation des réseaux sociaux pour communiquer aussi sur leurs travail via blogs, réseaux sociaux etc…
  • être conscients que la participation à des réseaux sociaux n’est pas un « one-shot » et nécessite une présence continue qui nécessite un investissement fort en ressources humaines ;
  • faire un usage intelligent des plates-formes de réseaux sociaux (Facebook, Twitter, etc…) pour assurer un maximum de visibilité à l’UE et offrir de nouvelles possibilités d’engagement du public avec la Commission ;
  • utiliser judicieusement les possibilités de mise en réseau d’Internet, en tenant compte des préoccupations quant à la protection de la vie privée, droit d’auteur, et durabilité.

Préconisations pour faire de la communication web l’une des activités essentielles de la Commission :

  • donner des moyens et des priorités à la communication web compatibles avec son rôle de moyen principal d’interagir avec le public et la presse (actuellement, seulement une vingtaine de personnes travaillent sur le portail Europa au sein de la DG COMM)
  • fournir un investissement continu dans la formation pour s’assurer que l’attitude et l’expertise du personnel suivent le rythme rapide des évolutions technologiques et des changements de pratiques de communication ;
  • réaliser un changement majeur afin de rompre avec la culture de communication à sens unique, du sommet vers la base, encore prévalent à la Commission et développer une culture de communication interne qui encourage et habilite le personnel à utiliser Internet pour interagir avec les gens.
  • assurer l’engagement politique et le leadership de la nouvelle Commission afin d’exploiter pleinement le potentiel de communication en ligne.

Quelques exemples d’intégration du web social sur un site corporate :

  • Création d’une rubrique « Communauté » relayant la participation des internautes autour de l’UE sur les médias sociaux ;
  • Mise en place d’un module « Feedback » pour avoir des suggestions, des propositions accessibles depuis n’importe quelle page des sites Europa ;
  • FAQ dynamiques et collaboratives permettant aux internautes sur chaque page de poser des questions et de connaître les réponses de la communauté ou des experts.
  • Focus group online réservé aux membres inscrits pour travailler avec les membres les plus fidèles sur des, co-conception ou bêta-testing de nouvelles fonctionnalités.

Ainsi, le débat lancé lors de la première édition du Personal Democracy Forum Europe (à Barcelone les 20 et 21 novembre 2009) sur les manières d’explorer et de réinventer la politique par le web se trouve dorénavant au cœur de l’UE.